Une prise de conscience s'impose après les attentats de Bruxelles.
di Casalino Pierluigi, 26.03.2016
> Les attentats à Bruxelles sont une suite logique et quasi attendue de
> ce qui s'est passé à Paris. C'est une me^me rage, un haine sans limite
> de l'Occident qui animent ces enfants européens issus de l'immigration
> maghrébine. Pourquoi tant de cruauté? Pourquoi ces assasinats
> aveugles? Comment devient-on un mostre qui sacrifie sa vie en tuant le
> maximum de personnes autour de soi? La plupart des terroristes qui on
> comis des attentats en Europe sont des enfants d'immigrés. C'est un
> constat. Ces individus n'ont jamais reçu ou n'ont jamais inculqué les
> valeurs que porte la civilsation d'où viennent leurs parents. Ces
> derniers, aussi impuissants que les services de sécurité, ont leur
> part de responsabilité dans ce qui arrive me^me s'ils sont pluto^t à
> plaindre. Parce qu'ils n'ont aucune autorité sur leurs enfants, ils
> ont raté leur éducation. Ils n'ont pas su ni pu leur transmettre la
> valeur culture, meilleur barrage contre la barbarie. Ils n'ont pa su
> ni pu les protéger contre le mal absolu, un fanatisme enrobé dans un
> drap islamique. Un certain nombre d'enfants d'immigrés souffrent
> d'insécurité ontoligique et pourtant ils ne prennent pas les armes
> pour tuer des innocents. Cìest là qu'intervient l'Etat islamique avec
> sa propagande diabolique. Elle mène une guerre partout où elle trouve
> des failles. L'Europe, entité faible et sans consistance, est
> justement pleine de trous. L'Etat islamique les a investis depuis
> longtemps. Ils le font sans hésiter ou presque parce qu'on a su les
> convaincre que mourir c'est mieux que vivre dans des pays présentés
> comme hostiles à leur fois. La mise en place de solution pour leur
> désendocrtinement doit tenir compte de l'absence d'utopie politique.
> Il y a un mélange explosif, conséquence d'une globalisation mentale
> que l'Etat-nation européen a désormais du mal à contro^ler. Ce dernier
> ne veut pas non plus s'européaniser, bien que le volet sécuritaire
> montre l'inefficacité du nationalisme des services de reinsegnement au
> sein d'une Europe de Schengen sans frontières.
> Les attentats à Bruxelles sont une suite logique et quasi attendue de
> ce qui s'est passé à Paris. C'est une me^me rage, un haine sans limite
> de l'Occident qui animent ces enfants européens issus de l'immigration
> maghrébine. Pourquoi tant de cruauté? Pourquoi ces assasinats
> aveugles? Comment devient-on un mostre qui sacrifie sa vie en tuant le
> maximum de personnes autour de soi? La plupart des terroristes qui on
> comis des attentats en Europe sont des enfants d'immigrés. C'est un
> constat. Ces individus n'ont jamais reçu ou n'ont jamais inculqué les
> valeurs que porte la civilsation d'où viennent leurs parents. Ces
> derniers, aussi impuissants que les services de sécurité, ont leur
> part de responsabilité dans ce qui arrive me^me s'ils sont pluto^t à
> plaindre. Parce qu'ils n'ont aucune autorité sur leurs enfants, ils
> ont raté leur éducation. Ils n'ont pas su ni pu leur transmettre la
> valeur culture, meilleur barrage contre la barbarie. Ils n'ont pa su
> ni pu les protéger contre le mal absolu, un fanatisme enrobé dans un
> drap islamique. Un certain nombre d'enfants d'immigrés souffrent
> d'insécurité ontoligique et pourtant ils ne prennent pas les armes
> pour tuer des innocents. Cìest là qu'intervient l'Etat islamique avec
> sa propagande diabolique. Elle mène une guerre partout où elle trouve
> des failles. L'Europe, entité faible et sans consistance, est
> justement pleine de trous. L'Etat islamique les a investis depuis
> longtemps. Ils le font sans hésiter ou presque parce qu'on a su les
> convaincre que mourir c'est mieux que vivre dans des pays présentés
> comme hostiles à leur fois. La mise en place de solution pour leur
> désendocrtinement doit tenir compte de l'absence d'utopie politique.
> Il y a un mélange explosif, conséquence d'une globalisation mentale
> que l'Etat-nation européen a désormais du mal à contro^ler. Ce dernier
> ne veut pas non plus s'européaniser, bien que le volet sécuritaire
> montre l'inefficacité du nationalisme des services de reinsegnement au
> sein d'une Europe de Schengen sans frontières.